SÉLECTIONNEZ VOTRE VILLE

Rhône
  • Lyon
  • Tarare
Loire / Haute-Loire
  • Saint-Étienne
  • Roanne
  • Le-Puy-en-Velay
  • Yssingeaux
Puy de Dôme / Allier
  • Clermont-Ferrand
  • Vichy
Ain / Saône-et-Loire
  • Bourg-en-Bresse
  • Mâcon
  • Valserhône
Ardèche
  • Aubenas
Isère / Savoie
  • Vienne
  • Grenoble
  • Chambery
  • Annecy

Cliquer pour télécharger
l'application Radio Scoop

LYON : DAVID KIMELFELD DÉTERMINÉ À RESTER PRÉSIDENT DE LA MÉTROPOLE

Jeudi 17 Octobre - 05:00

Politique


David Kimelfeld entouré de ses soutiens. - © Léa Duperrin / Radio Scoop
Ce mercredi 16 octobre, David Kimelfeld a réuni autour de lui de nombreux soutiens lors de son meeting de lancement de campagne. L'actuel président du Grand Lyon est candidat à sa réélection.


Environ mille personnes se sont rassemblées ce mercredi soir pour soutenir David Kimelfeld. Parmi eux notamment, Georges Képénekian candidat à la mairie de Lyon et le député Thomas Rudigoz.


"Nous savons ce que nous avons à faire !"


Le meeting a commencé avec les prises de paroles de maires et d'adjoints du Grand Lyon. "À ceux qui nous donnent des consignes depuis Paris, je leur réponds que nous sommes plus d'un million d'habitants et nous savons ce que nous avons à faire !", s'est exclamé Jean-Luc Da Passano, vice-président de la Métropole et maire d'Irigny.

Une référence à peine voilée au soutien apporté par le comité d'investiture LREM à Gérard Collomb, lui aussi candidat à la présidence de la Métropole.

"Du concret, de l'immédiat"


Acclamé par le public, David Kimelfeld a ensuite pris la parole pendant une bonne demi heure, promettant "du concret, de l'immédiat mais aussi des grands projets pour la Métropole de demain". L'actuel président du Grand Lyon a parlé d'une "fracture des territoires", du chômage et du marché de l'immobilier. "Je refuse d'être le Président des 10.000 euros le m²", a-t-il déclaré.

David Kimelfeld a souligné les efforts mis en œuvre pour limiter les voitures en centre-ville avec la piétonisation de la Presqu'île, affirmant "ne pas se contenter de verdir les rues", référence aux bacs à fleurs polémiques installés sur la rue Édouard Herriot par Gérard Collomb.

Enfin, David Kimelfeld a rappelé vouloir rassembler largement, "de la gauche progressiste à la droite humaniste en passant par les écologistes". Une plateforme participative a été lancée pour recueillir les avis des habitants jusqu'au 1er janvier.