Parmi les personnes interpellées : un imam fiché S, qui officiait dans une salle de prière de Gonesse fréquentée par le tueur.
L'enquête se poursuit pour tenter de comprendre si l'attentat est le fait d'un coup de folie solitaire sur fonds d'autoradicalisation ou si Mickaël Harpon a bénéficié de complices ou d'inspirateurs.